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6 juin 2015 6 06 /06 /juin /2015 08:11
Révolution du BURKINA-FASO: Et si Dieu était Burkinabe?

Révolution du FASO: Et si Dieu était BURKINABE ?

Et si Dieu était Burkinabè? Et s'il s’appellait Sawadogo et Ouédraogo pour ne prendre que les noms les plus courants? Ou Traoré et Sankara ou d'autres noms burkinabès? les Sawadogo et les Kaboré auraient un don de voyance et les Ouédraogo une clairvoyance. Ouédraogo veut dire un cheval mâle . Ou encore la vie de Thomas Sankara qui a marqué l'Afrique et le monde. C’est une particularité du peuple Burkinabè qui a toujours été la fierté de toute l’Afrique.

Thomas Sankara symbolise une Afrique qui refuse de s’agenouiller. Nulle part sur le continent un peuple n’a été aussi vaillant, aussi courageux et aussi uni que la journée du jeudi 31 octobre 2014 où tout bascula en quelques heures au pays des Hommes intègres. Pays de la révolution, le FASO ne se laisse pas marcher sur les pieds. Un Burkinabè est tolérant, Un Burkinabè sait pardonner mais quand on dépasse les seuils de la tolérance, il sait faire un rappel à l’ordre. Enfin, un Burkinabè est fier de sa négritude ! Sa colère fait trembler toute l’Afrique, comme ces moments où délogeant Compaoré de son palais, il réduisait le RSP au silence. Quiconque ose défier les lois des dieux doit être puni.

Jeudi 31 octobre 2014, Dieu a choisi son camp pour montrer qu’il pouvait tout faire et qu’il savait tout faire. Quand les stratèges Burkinabès entrent en action, plus rien ne peut les arrêter ! Dieu s’est incarné dans chaque Burkinabè femme et dans chaque Burkinabè homme. Il leur a indiqué la direction de Kosyam. Alors, le peuple du FASO qui longuement attendu ce moment a concrétisé l’occasion pour balayer tout sur son passage à commencer par les symboles qui les ont trahis depuis plus de 3 décennies et changer radicalement la face du FASO En quelques heures, les Burkinabés parviennent à modifier les rapports de force.

L'histoire retiendra celle d'une Assemblée Nationale en flammes, des députés hagards se cachant dans les armoires, d’autres en fuite. Blaise Compaoré n’y croit pas, le monde s’écroule autour de lui, l’armée recule, elle n’a pas le choix, elle n’a plus le choix ! Ces images font le tour du monde. Le Burkina-Faso rentre dans les annales des nations démocratiques du monde. Même les révolutions arabes n’ont pas connue une telle prouesse.

Les Burkinabès ont changé l'Afrique et le monde. Désormais Plus rien ne sera comme avant. C'est la liberté retrouvée après des décennies d'oppression. Ils ont prouvé que Dieu sur le continent est toujours BURKINABE.

La patrie ou la mort nous vaincrons !

Vive le peuple du FASO !

Vive le Burkina-Faso Libre !

Vive l’Afrique bientôt Libre !

Houssein IBRAHIM HOUMED

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 09:01
France does not support the dictatorship in Djibouti and Africa-Houssein IBRAHIM HOUMED

France does not support the dictatorship in Djibouti and Africa

Letter date by me Comrade President, François Hollande President of the French Republic asking him to support the Djiboutian people and the democratic transition in Francophone Africa.

TO
François Hollande
President of the French Republic

Mr. President,

This is as a French citizen born in the Republic of Djibouti that I have hereby request from your high benevolence kindly support the political transition in Djibouti.

Mr. Ismail Omar Guelleh, in power for over 40 years. First as Chief of Staff of his uncle Hassan Gouled Aptidon from 1977 to 1999, then as self-proclaimed President of the Republic of Djibouti, starting in 1999.

A former police officer cited in several cases by our intelligence services. A note from the DGSE describes him as a "man wheeler, corrupt and without any moral or human scruples." There are some years, he was openly burn the French flag under the windows of the Embassy of France in Djibouti and he was advertising. He is one of those that prevent the Republic of Djibouti to develop, by organizing the looting of its scarce resources with the complicity of his tribe and the clan of his wife who have established a system of predation, while citizens die from malnutrition in cities and are facing starvation in the hinterland. The virtual absence of care and education adds to the decor unusual and have nothing to do with the essential mission entrusted to the Francophonie. At the same time, a youth, distraught, continue to flee the country that offers no future prospects.

Ismaël Omar Guelleh is also the man who orchestrated during the civil war of 1991-1994 war crimes, genocide and "crimes against humanity" against AFAR community. As for torture carried out against opponents, under his authority as head of National Security since 1977, they have traumatized generations of Djibouti in sparing no community.

Moreover, a complaint was filed by me November 22, 2013, against the self-proclaimed president of Djibouti to the International Criminal Court (ICC).

I do not want our country, France, now frequently unsavory political leaders. When the media announced the forthcoming visit of our Minister of Defence in Djibouti, Jean-Yves Le Drian, which I was a fellow candidates in the regional 2010 in the town of Rennes, I hurry to remind you that in a recent speech in Senegal, you said that France "would be with the people" in the African continent and that would accompany the democratic transition. You cited the example of the Burkina Faso where it had happened a revolution that ousted dictator Blaise Compaoré.

You will agree with me that 40 years of suffering, it is too! France should not send his ministers and senior representatives from the self-proclaimed President Ismael Omar Guelleh, before it gave reliable pledges and not empty promises. Any official visit of the personalities of the Western world is indeed interpreted by the people of Djibouti as a support for the dictator.

We know that his declarations of love for the Francophonie and the French language, expressed in the magazine Jeune Afrique, is pure falsification of truths: "Francophonie protects us, we want it. Ethiopia and Dubai are calling for French teachers Djibouti. "Yesterday, he treated Francophone Djibouti intellectuals to be "pure product of France." Is meant by then he has little esteem for France and opponents "Francophone".

I hope, Mr. President of the Republic, as you share the spirit of these lines and on behalf of the values defended from the outset by the Socialist Party, France will no longer support dictatorships in Africa. I ask you, Mr. President of the Republic, to promote the democratization of the Republic of Djibouti and Francophone Africa, which would be a noble and legitimate mission.

It is time that France, home of human rights, breaks the convenience relations with Ismaël Omar Guelleh which I have just described a portrait far short of reality (in sponsored crimes throughout the Horn of Africa).

Thank you for the interest that you will grant my request and ask you to believe, Mr. President of the Republic, the assurance of my respectful greetings.


HOUSSEIN IBRAHIM HOUMED

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7 février 2015 6 07 /02 /février /2015 09:07

Le peuple du FASO à nouveau dans la rue pour sauver sa révolution

Ce matin, Place de la Révolution à Ouagadougou, le peuple de Thomas Sankara est en colère. Le peuple du FASO manifeste dans toutes les villes, dans tous les villages et dans les campagnes pour exiger la dissolution du RSP, le tristement célèbre régiment de la sécurité présidentielle inféodé à Blaise Compaoré et qui continue de menacer la fragile transition au pays des Hommes intègres.
Le RSP, une milice a la solde des Compaoré, fait de l'ombre à l'armée Burkinabè dépourvu de tout moyen, qui compte des criminels dans ce rang est une véritable machine à tuer. Un demon aux antipodes du Bataillon d'intervention Aéroporté (BIA) de Koudougou commandé par le lion de Boulkiemdé, Boukari Kaboré avant de subir le carnage du 30 octobre 1987. À cette différence que Le BIA, fer de lance de l'armée burkinabè défendait l'intérêt du Burkina-Faso!

De Ouagadougou à Bobo-Dioulasso, de Pô à Dori, en passant par Kaya, Koudougou et Fada-N’Gourma jusqu’aux confins de Banfora, le peuple Burkinabè est debout ce matin comme un seul Homme pour faire entendre sa voix.

Comme si un nouveau tsunami se préparait déjà dans toute l’Afrique, adressant un message sans équivoque aux dictateurs qui entretiennent des milices privées au détriment des armées nationales, de renoncer à leur rêve de puissance illimitée.

Ce nouveau réveil du Burkina-Faso va encore fragiliser les tyrans d’Afrique : Ismaël Omar Guelleh, le tyran sanguinaire de Djibouti sera -t-il contraint de revoir sa copie avec ses neveux du clan et renoncer à la milice étrangère qu’il entretient sur le territoire djiboutien pour défendre ses intérêts?

Milice qui sera logée à la même enseigne que le RSP au même titre que Joseph Kabila qui compte sur le général Celestin Kanyama, comme le Togolais Faure Eyadéma qui croit à la toute-puissance du camp Eyadéma, celle là même qui l’a évacué vers Notsé au plus fort de la crise togolaise.

En Afrique, il est temps de comprendre que la force ne règle pas tout, ne règle tout simplement rien et qu'elle est même facteur d'instabilité politique surtout qu’elle est toujours susceptible d’être renversée par une autre force: le PEUPLE...

Après avoir bouté Blaise Compaoré hors du FASO , le moment est venu pour se débarrasser de sa milice RSP qui est appelé à disparaître...

Le peuple du FASO qui tient jalousement à sa révolution va à nouveau prouver sur le continent qu' IMPOSSIBLE n'est pas BURKINABÈ.

La patrie ou la mort nous vaincrons!

Vive le Peuple du FASO !
Vive le Burkina-Faso Libre !
Vive l’Afrique bientôt Libre !

Housssein IBRAHIM HOUMED

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31 janvier 2015 6 31 /01 /janvier /2015 11:51

Ce matin encore, Je suis fier d'être Africain et BURKINABE...

Je suis Fier d’être Burkinabè depuis que mon pays ne s’appelle plus la Haute-Volta,Depuis que j'ai changé mon drapeau et composé moi-même mon hymne le Ditanyé,
Je suis fier de mon pays qui a eu comme Président Thomas SANKARA
Je suis fier d’être Burkinabè depuis la révolution de 1983 qui a fait de nous
le pays des Femmes et des Hommes intègres

Au Faso, je suis fier d’être Africain, je refuse l'esclavage sous toutes ses formes,je rejette le colonialisme, l'impérialisme, je suis maître de mon destin,
Au Faso, je ne badine pas avec la dictature, je sais comment m'en débarrasser
Mon pays, le Burkina-Faso, c’est le pays de la révolution et de la renaissance de toute l'Afrique

Je suis fier d’être Burkinabé car je peux compter sur ma jeunesse révolutionnaire,
Je suis fier d’être Burkinabé parce que je me suis libéré de Blaise Compaoré
Et j’aspire à libérer mes autres frères d’AFRIQUE du joug de la tyrannie qui les opprime depuis un demi-siècle! Je pense au Congo, à Djibouti, au Togo, au Tchad, au Cameroun, au Gabon, en Centrafrique...

Sans une dose de FIERTE, cette mission de libération sera impossible !

Et Je veux que demain cette fierté soit Djiboutienne, Togolaise, Ivoirienne, Béninoise, Camerounaise, Tchadienne, Centrafricaine, Malienne, Congolaise, Gabonaise, bref AFRICAINE...

C’est pourquoi, je suis fier d’être AFRICAIN ET BURKINABE…

La patrie ou la mort nous vaincrons!

Vive le peuple du FASO
Vive le BURKINA-FASO Libre !
Vive l'AFRIQUE bientôt Libre!

Houssein IBRAHIM HOUMED
Un Burkinabè de cœur

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2 janvier 2015 5 02 /01 /janvier /2015 21:45

À Djibouti, Le peuple crie sa colère contre la trahison de l'opposition

Il n'y a plus d'opposition à Djibouti. Une première en Afrique et du Jamais vu! Aussi incroyable que cela puisse vous paraître, l'USN (l'Union pour la salut national, une coalition de 7 partis d'opposition) a rallié le régime d'Ismaël Omar Guelleh au terme d'un pseudo accord. Elle a admis sa défaite, épuisé par deux années de lutte! Personne ne comprend les raisons. Y a -t-il d'ailleurs une raison? Je prefère vous en dispenser la recherche!

Ce soir Mon peuple à Djibouti crie sa colère et il réalise qu'il ne peut compter que sur lui-même. Tant la pilule est difficile à avaler pour lui. Il pouvait s’y attendre, il fallait s’y attendre, puisque cette fin était prévisible. Car ce que l’on appelle "opposition" chez nous, à Djibouti, est composé pour leur écrasante majorité des anciens apparatchiks du régime, entrés en dissidence suite à des frustrations non exaucées avec le tyran Ismaël Omar Guelleh qui fait la pluie et le beau temps dans ce minuscule Etat de la Corne de l’Afrique.

Hier, Le peuple est sorti massivement pour se faire entendre qu’il est le seul maître de son destin. Aujourd’hui, nous avons assisté à des démissions de la part de celles et ceux qui ne voulaient pas trahir la lutte, de celles et ceux qui refusent tout simplement la servitude volontaire. Ainsi, pouvait-on lire le communiqué du puissant syndicaliste, Président de la revue HCH24 et membre éminent de l’ARD (Alliance Républicaine pour le développement) Hassan Cher Hassan, qui a claqué la porte de ce parti dont personne n’imaginait le ralliement au régime parce que son fondateur, le défunt Ahmed Dini, le père de l’indépendance de la République de Djibouti s’opposa à toute allégeance au régime jusqu’à sa mort.

En tout cas, ses prédécesseurs, proches ou lointains ont trahi ses idéaux! Plus prudent, Le Docteur Ali Coubba, Président du parti politique Uguta-Toosa reste sceptique du fait que dans le passé le dictateur Guelleh n’a jamais respecté sa parole. Sans oublier le Président des Droits de l’Homme, Maître Zakaria Abdillahi qui fut le premier à dénoncer ce pseudo-accord. Ce soir, le Président Ali Deberkaleh, du mouvement « Djibouti 2016 », qui a démissionné de l’USN dénonce lui aussi une mascarade et appelle le peuple Djiboutien à la lutte contre la dictature. Les 3 Cheicks, Abdourahman Bachir, God et Guirreh Meidal ont refusé de s'allier avec le régime au même titre que l'intellectuel djiboutien Mohamed Daher, arbitrairement déchu de sa nationalité djiboutienne et déporté en somalie.

Qu’il est ô combien offensant de voir des Afars signés ce fameux « accord-cadre » alors que ce peuple a été la principale victime de l’orchestre central des crimes de guerre, génocide et crimes contre l’humanité ? Mais il n’est pas étonnant aussi de constater qu’il s’agit de quelques Afars dont certains sont connus pour avoir dissimulé le dossier du massacre d’Arhiba du 18 décembre 1991 contre des espèces sonnantes et trébuchantes. Pas étonnant aussi que l’un des protagonistes de cet accord, Monsieur Ismaël Guedi Hared, est un génocidaire dont le nom a été transmis par mes soins à la Cour Pénale Internationale de la Haye.

Ce soir, le peuple Djiboutien n’est pas livré à lui-même : il est debout face à l’histoire et il pourra compter sur celles et ceux qui ne se sont pas résignés à la politique du ventre…Le peuple de Djibouti peut compter sur sa puissante diaspora d’Europe et d’Amérique mais il pourra surtout compter sur lui-même.

Ce soir, je demande personnellement au peuple djiboutien que la Lutte continue, que l’espoir est toujours permis…Et que la victoire est au rendez-vous bientôt. Que notre nombre fait notre force et que seule la lutte libère… Et que le Burkina-Faso et toute l’Afrique soutiendront le peuple DJIBOUTIEN !

Il n’y a jamais des négociations politiques à Djibouti !

La patrie ou la mort nous vaincrons !

Vive le peuple de Djibouti !
Vive le BURKINA-FASO Libre !
Vive l’Afrique bientôt Libre !

Houssein IBRAHIM HOUMED

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30 décembre 2014 2 30 /12 /décembre /2014 15:51

L'Armée tente de libérer le peuple de la Gambie de son dictateur

Ce matin, on entend des rafales de mitrailleuses aux abords du palais présidentiel de Banjul. L'armée Gambienne est entrée en action pour libérer son peuple! Toutes les rues sont désertes. L'Aéroport est encerclé, la Radiotélévision Gambienne n’émettrait plus. Le combat continue entre les forces loyalistes et les putschistes principalement sur le Denton Birdge. Quelque chose est en train de changer dans ce pays en proie à une dictature féroce.

La Gambie serait en train d'emboîter le pas du Burkina-Faso en voulant se libérer d'une dictature même si les procédés sont différents. Lassé par un dictateur au pouvoir depuis 1994 et qui a été "réélu" en 2001, 2006 et 2011, Yahya Yammeh fait régner la terreur sur ce pays depuis plus d'une décennie.

Les violations des droits de l'homme sont constantes, la liberté de presse quasi-inexistante, l'exécution des prisonniers politiques permanente, l'opposition muselée. Le dictateur a institué une vie tout simplement abiotique.

Yahya Yammeh est aussi un des dictateurs africains qui pensent disposer des pouvoirs exceptionnelles dans le domaine de connaissances médicales: il aurait ainsi déclaré en janvier 2007 qu'il pouvait traiter le SIDA et l'asthme à base d'herbes médicinales. Il aurait également prétendu avoir mis au point un remède contre l’hypertension artérielle. Mais il n'a pas, en revanche, trouvé le moindre traitement à sa maladie qui le terrasse et qui l'a cloué au lit dans un hôpital parisien.

Le tyran Gambien frise le ridicule: hospitalisé à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, la France tente de le réanimer (comme elle l'a fait avec le tyran Ismaël Omar Guelleh de Djibouti et d'autres dictateurs africains) pour qu'ensuite, Monsieur Yahya Yammeh prenne des forces et rentre dans son pays pour réprimer avec plus d'efficacité son peuple.

Ce matin, l'armée gambienne aurait, semble-t-il, prévu de renverser ce calendrier d'un tyran qui serait sur le chemin du retour. Des coups de feu ont été entendus aux abords du palais présidentiel de Banjul et les quartiers environnants ont été complètement désertés.

Dans ce pays où il est pratiquement impossible de manifester, l'armée constitue le seul et dernier rempart pour la libération du peuple Gambien. Et si la Gambie se libérait aujourd'hui?

Peuples d'Afrique, soutenons la Gambie contre son tyran, roi de l'impunité!

La patrie ou la mort nous vaincrons!

Vive le peuple de Gambie!
Vive le Burkina-Faso Libre!
Vive l'Afrique bientôt Libre!

Houssein IBRAHIM HOUMED

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30 décembre 2014 2 30 /12 /décembre /2014 15:29

En Hommage à HAFEZ MOHAMED HASSAN, collégien assassiné par Guelleh à Djibouti

En Hommage à Boukary Dabo, Flavien Nebré et Justin Zongo, les gamins assassinés au Burkina-Faso par le régime de Blaise Compaoré

En Hommage à tous les enfants assassinés par les tyrans d'Afrique

Demain, la communauté AFAR (dois-je espérer qu'elle sera Djiboutienne???) va commémorer le deuxième anniversaire de la mort de Hafez Mohamed Hassan, ce gamin de 14 ans, tué froidement à Obock le 30 décembre 2012 sur ordre d’un ministre délinquant qui a pris lui-même ses ordres chez son père adoptif, Monsieur Ismaël Omar Guelleh, le tyran sanguinaire.

Comme Boukary Dabo assassiné le 30 décembre 1990 par la milice de Blaise Compaoré ou encore Flavien Nebré et Justin Zongo mort sous la torture à KOUDOUGOU. C'est qui s'y passent à Djibouti se passent aussi au Burkina-Faso! Comme si les tyrans Africains devaient passer par les sacrifices des enfants pour mieux distiller l'effroi et la terreur à l'Afrique toute entière!

Pour ce qui sera ou constituera ses premiers débuts en politique et sa première allégeance au tyran, l’apprenti Djama doit aussi faire son initiation dans le meurtre des Afars. S’abreuver du sang Afar comme ses congénères et prédécesseurs civils et militaires, est un préalable pour gravir les échelons, pour jouir d’un authentique succès au sein de ce régime ethnofasciste et pour asseoir son autorité.

Cette scène n’est pas sans rappeler le scalp des Indiens d’Amérique à la différence que chez les sauvages d’Amérique, l’objectif était de récupérer les ressources de l’ennemi alors que pour les extrémistes "issas" du régime, il s’agit bel et bien de tuer sa proie, de lui refuser toute existence légale et légitime, de la faire disparaître.

HAFEZ MOHAMED HASSAN a donc été la première victime du jeune vampire Djama Okieh qui est allé chercher des jeunes collégiens chez eux, en pays Afar, à Obock, accompagnés des gendarmes du GIGN afin de réaliser son premier rituel avec du sang pur, impur pour lui, car ces collégiens sont justement les ennemis à tuer. En guise de récompense, Le tyran Ismaël Omar Guelleh lui offre sa famille, pas étonnant d'ailleurs de la part d'un ancien policier des mœurs.

Ce n’est pas un collégien qui est mort, ce n’est pas un enfant qui est mort, c’est un futur rebelle dans la tête de Guelleh, c’est un futur révolutionnaire dans la tête d’un certain Djama Okieh, c’est tout simplement l’ennemi public numéro un, pour des extrémistes de son régime.

Pour preuve, ce meurtre n’a été soumis à aucune enquête du parquet car il s'agit comme d'habitude d'un fait divers qui ne mérite pas qu'on s'y attarde!

Que ceux qui ont fait disparaître de ce monde HAFEZ MOHAMED HASSAN parce qu’il était seulement AFAR, pace qu'il était de la mauvaise coloration ethnique sachent tout de même qu'ils seront bientôt traduits devant la Cour Pénale Internationale! Qu’ils ne profiteront pas éternellement de cette culture de l'impunité qui a fait son lit en Afrique et particulièrement à Djibouti.

Hafez MOHAMED HASSAN, le peuple Djiboutien et en particulier le peuple AFAR pleure ta mort. Tu aurais fait partie des nôtres aujourd’hui mais les desseins criminels de ceux qui ont profité de la complicité des trâitres responsables, ont finalement eu raison de ta petite grande âme!

Sans oublier la responsabilité encore plus déterminante des AFARS de l'USN pseudo-opposants qui viennent de trahir le peuple et qui collaborent aux souffrances de leur propre communauté avec un tyran génocidaire et sa caste.

HAFEZ MOHAMED HASSAN, Que Dieu repose ton âme au Paradis ! Tu es mort en martyr et ceux qui t’ont tué vont bientôt répondre de leurs actes devant la Justice. A Djibouti, Ismaël Omar Guelleh exprime sa volonté de puissance en assassinant encore et toujours des femmes et des enfants!

On dénombre à 6000 les AFARS assassinés par Ismaël Omar Guelleh, les AFARS ce peuple qui occupe 20000 km2 sur les 23000 et qui représente plus de 50% de la population restent les principales victimes du régime .

Malheur à ceux qui bâillonnent leur peuple!

Houssein IBRAHIM HOUMED

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28 décembre 2014 7 28 /12 /décembre /2014 15:28

Révolution Burkinabè: le pouvoir appartient au peuple et non aux tyrans!

Jeudi 30 octobre 2014, à 9 heures du matin, la vie s’arrête à Ouagadougou. Ce matin, l’ambiance est morose dans la capitale. Deux camps s’affrontent, deux visions du monde diamétralement opposées : d’un côté Blaise Compaoré et son régime qui s’apprêtent à procéder à un coup d'Etat constitutionnel pour s’éterniser au pouvoir et qui a choisi la voie parlementaire dans une Assemblée qui lui est largement inféodée et de l’autre côté un peuple qui, lassé par 30 années de dictature aspire à la liberté, qui veut la démocratie et donc le changement.

La riposte Burkinabè ne s’est pas faite attendre : ils sont venus de toutes les villes, des campagnes et de tous les villages : De Fada N’Gourma, Dori, Koudougou, Bobo-Dioulasso, Ouahigouya jusqu’aux confins de Banfora, ils sont venus à pieds, en voiture, en moto bref avec tous les moyens de locomotion possibles et imaginables pour marcher sur Ouagadougou, particulièrement sur KOSYAM, le palais présidentiel en vue de prendre directement le pouvoir.

Un jeudi matin pas tout à fait ordinaire: l’armée Burkinabè recule, elle n’a pas le choix, elle n’a plus le choix devant la marée humaine, qui avance, les mains levées. Ces images vont faire le tour du monde.

Le peuple du FASO se libère. Il rejoint le concert des grandes nations démocratiques du monde. Il s’impose au cœur de l’actualité mondiale mais c’est surtout en Afrique que cette révolution réveille les consciences. Les tyrans tremblent, ils savent que plus rien ne sera comme avant sur le continent meurtri par les guerres, les souffrances et les maladies.

Le Togo se réveille à son tour, Djibouti, le Gabon, le Congo : L’Afrique est en ébullition, le rêve est désormais permis, l’incroyable s’est réalisé : Cette belle révolution, nous devons la rappeler tout le temps car c'est notre trésor AFRICAIN

Et ce trésor est sur le continent, pour l'instant, BURKINABE…

La patrie ou la mort, nous vaincrons.

Vive le Peuple du FASO !
Vive le Burkina-Faso Libre !
Vive l’Afrique bientôt Libre !

Houssein IBRAHIIM HOUMED

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27 décembre 2014 6 27 /12 /décembre /2014 22:27

 

Créons un, deux, trois... voire plusieurs Burkina-Faso en Afrique!

 

Peuples d'Afrique, notre libération doit primer sur toute autre considération
Nous devons poursuivre notre lutte sans faillir à chaque instant
Et nous écarter de ceux qui ne pensent qu'à leurs intérêts égoïstes
Peuples d'Afrique, levons-nous comme un seul homme pour chasser les tyrans


Créons un, deux, trois... voire plusieurs Burkina-Faso en Afrique
Pour nous libérer de la double tutelle qui nous asphyxient
Celle de l'influence pernicieuse de la Françafrique et celle des tyrans
Qui saignent notre continent depuis des siècles

 

N'acceptons plus d'être les victimes et les otages de cette perversion
Soyons capables de dire non à Djibouti, non auTogo, Non au Cameroun,
Non au Tchad, Non au Gabon, Non en Centrafrique, Non au Congo,
Non tout simplement en Afrique francophone où le mal sévit

 

Boutons le policier des mœurs Ismaël Omar Guelleh hors de Djibouti,
Boutons le faussaire Ali Bongo hors du Gabon,
Boutons le poltron Faure Gnassingbé hors du Togo et
Et Boutons le débile Idriss Déby hors du Tchad

 

C'est désormais possible, c'est désormais réalisable
Impossible n'est pas Burkinabè, impossible ne doit pas être Africain
Mettons fin à ces lots de souffrances inouïes qui n'est pas une fatalité
Ayons le courage de prendre notre destin en mains pour une Afrique Libre

 

Burkina-Faso se tient prêt pour nous fournir l'antidote contre Ebola
Nous devons nous saisir cette occasion, de cet exemple exemplaire
Burkina-Faso est notre édifice, notre père et notre repère en matière de lutte
L'édifice d'une Afrique Libre qui a toujours refusé la domination

 

En 2015 frères et camarades de lutte de toute l'Afrique
Ne prions pas pour qu'il n'y ait plus de dictateur sur le continent
Luttons tous ensemble dans chaque pays pour être Libre
Car seule la lutte Libère... Et l'exemple vivant du Burkina-Faso est toujours là

 

Créons un, deux, trois...voire plusieurs Burkina-Faso en Afrique

 

La patrie ou la mort nous vaincrons!

 

Vive le peuple du Faso!
Vive le Burkina-Faso Libre!
Vive l'Afrique bientôt Libre!

 

Houssein IBRAHIM HOUMED

 

 

Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
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21 décembre 2014 7 21 /12 /décembre /2014 12:12

Massacre des civils qui protestent contre la Présidence à vie au Gabon

 

La scène est tout simplement insupportable! C'est l'horreur et la désolation au Gabon. La ligne rouge a été franchie par le tyran Ali Bongo qui a ordonné le massacre de son peuple. Personne n'en parle parce que c'est le Gabon, parce que c'est l'Afrique, parce que ce sont des intérêts à protéger surtout la manne pétrolière. Pourtant, les Gabonais continuent de lutter pour leur liberté, d'opposer une résistance farouche contre la Présidence à vie sur fond de tyrannie.

Ils sont massivement descendus dans la rue cet après-midi à Libreville pour protester à nouveau contre la Présidence à vie de Monsieur Ali Bongo.

 

Mais l'armée avait déjà investie la capitale. Elle a reçu l'ordre de tirer à balles réelles. Ces images d'un Gabonais mort sur le champ doit nous interpeller. Nous devons réagir et ne plus laisser faire l'impunité érigée en mode de gouvernabilité au Gabon, à Djibouti, au Togo, au Tchad bref en Afrique.

 

Selon les informations en provenance de Libreville, il y aura eu plus d’une cinquantaine de morts. L'armée aurait embarqué dans ses camions une trentaine de cadavres. Pour mieux masquer le bilan macabre. Le Procureur de la République parle de 5 morts pour ne finalement retenir qu'un seul. La confusion règne encore au Gabon où le peuple est décidé de mettre un terme à la Présidence de Bongo qui succède à son père.

 

Les Peuples d’Afrique doivent dénoncer ce carnage sans précédent de l’armée gabonaise contre leur propre population et soutenir celle-ci pour qu’elle réussisse sa transition démocratique. Ce soir, Ali Bongo n’a aucune légitimité démocratique pour rester au pouvoir.

 

Peuples d’Afrique, jusqu'à quand devons-nous tolérer l'intolérable?

 

La patrie ou la mort nous vaincrons !

 

Vive le peuple du Gabon !
Vive le Burkina-Faso Libre !
Vive l’Afrique bientôt Libre !

 

Houssein IBRAHIM HOUMED

 

https://www.facebook.com/houssein.ibrahimhoumed

 

Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
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J
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