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29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 20:11

 

Formons une immense chaîne de solidarité autour du peuple Burkinabé

 

Vu de Djibouti, de l’Afrique et du monde, je peux dire avec certitude que la direction, les membres et les sympathisants du parti politique d’Uguta-Toosa (Djibouti) soutiennent le juste combat du peuple Burkinabé.

 

J’invite la coalition USN (Union pour le salut National) de l’opposition djiboutienne et la diaspora africaine d’Europe et d’Amérique d’exprimer leur indéfectible solidarité à l’endroit de la résistance que mènent les Burkinabés contre la dictature de Blaise Compaoré au pouvoir depuis 27 ans.


Il est temps que les réseaux sociaux se manifestent pour former une immense chaîne de solidarité en soutien de la révolution en cours dans la patrie du regretté Thomas Isidore Noël SANKARA.

 

Vive le peuple Burkinabé!

Nous sommes avec vous.

 

 

Houssein IBRAHIM HOUMED (Rennes-France)
Un Burkinabé de coeur

 

Formons une immense chaîne de solidarité autour du peuple Burkinabé Vu de Djibouti, de l’Afrique et du monde, je peux dire avec certitude que la direction, les membres et les sympathisants du parti politique d’Uguta-Toosa (Djibouti) soutiennent le juste combat du peuple Burkinabé. J’invite la coalition USN (Union pour le salut National) de l’opposition djiboutienne et la diaspora africaine d’Europe et d’Amérique d’exprimer leur indéfectible solidarité à l’endroit de la résistance que mènent les Burkinabés contre la dictature de Blaise Compaoré au pouvoir depuis 27 ans. Il est temps que les réseaux sociaux se manifestent pour former une immense chaîne de solidarité en soutien de la révolution en cours dans la patrie du regretté Thomas Isidore Noël SANKARA. Vive le peuple Burkinabé. Nous sommes avec vous. Houssein IBRAHIM HOUMED (Rennes-France) Un Burkinabé de coeur
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29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 09:43

Révolution Burkinabé : le début de la répression et l'entrée en scène du héros Boukari Le Lion, ancien compagnon de Sankara.


Je viens d'appeler ce matin les révolutionnaires Burkinabé. C'est le début de la répression à Ouagadougou. Il y aurait eu plusieurs blessés. Quelques gendarmes inféodés à Blaise Compaoré ont tiré sans sommation sur la population civile. Nous ignorons le nombre exact des victimes.


Cette intolérable situation aurait justifiée l'entrée en scène de Boukari KOBARE connu sous le nom de Boukari le lion. Il est l'homme qui fait peur à Compaoré dont il fut le frère d'armes même s'ils ne se sont jamais appréciés. Dans ses vidéos, il revient d'ailleurs souvent la personnalité de Compaoré qui est un militaire brutal et corrompu, prêt à pactiser avec le premier venu contre des espèces sonnantes et trébuchantes.


Boukari le Lion n'en a cure des menaces du tyran Burkinabé. Ancien capitaine l’armée Burkinabaise, compagnon du Président de Faso, Thomas Isidore SANKARA , Boukari est l’un des rares rescapés de la tuerie du cercle de Sankara. Il connaîtra de longues années d’exil avant de rentrer au Burkina-Faso.
Il vient de prendre la tête du cortège des révolutionnaires et le voici dans la vidéo parlant aux gendarmes. Il est fortement applaudi par les manifestants : Son entrée dans la révolution burkinabaise est un signe de mauvaise augure pour Blaise Compaoré qui retrouve, 27 ans plus tard, son pire et éternel ennemi : Boukari le Lion.La révolution, il la connaît.


Sauf qu’à la différence de Blaise Compaoré, Boukari le lion est l’idole des jeunes, le chéri de ces dames et la fierté du Burkina-Faso.


https://www.facebook.com/video.php?v=388628387959688&set=vb.198778723611323&type=2&theater


https://www.facebook.com/video.php?v=388491284640065&set=vb.198778723611323&type=2&theater


Houssein IBRAHIM HOUMED

 

Révolution Burkinabé : le début de la repression et l'entrée en scène du héros Boukari Le Lion, ancien compagnon de Sankara. Je viens d'appeler ce matin les révolutionnaires Burkinabé. C'est le début de la répression à Ouagadougou. Il y aurait eu plusieurs blessés. Quelques gendarmes inféodés à Blaise Compaoré ont tiré sans sommation sur la population civile. Nous ignorons le nombre exact des victimes. Cette intolérable situation aurait justifiée l'entrée en scène de Boukari KOBARE connu sous le nom de Boukari le lion. Il est l'homme qui fait peur à Compaoré dont il fut le frère d'armes même s'ils ne se sont jamais appréciés. Dans ses vidéos, il revient d'ailleurs souvent la personnalité de Compaoré qui est un militaire brutal et corrompu, prêt à pactiser avec le premier venu contre des espèces sonnantes et trébuchantes. Boukari le Lion n'en a cure des ménaces du tyran Burkinabé. Ancien capitaine l’armée Burkinabaise, compagnon du Président de Faso, Thomas Isidore SANKARA , Boukari est l’un des rares rescapés de la tuerie du cercle de Sankara. Il connaîtra de longues années d’exil avant de rentrer au Burkina-Faso. Il vient de prendre la tête du cortège des révolutionnaires et le voici dans la vidéo parlant aux gendarmes. Il est fortement applaudi par les manifestants : Son entrée dans la révolution burkinabaise est un signe de mauvaise augure pour Blaise Compaoré qui retrouve, 27 ans plus tard, son pire et éternel ennemi : Boukari le Lion.La révolution, il la connaît. Sauf qu’à la différence de Blaise, Boukari le lion est l’idole des jeunes, le chéri de ces dames et la fierté du Burkina-Faso. https://www.facebook.com/video.php?v=388628387959688&set=vb.198778723611323&type=2&theater Houssein IBRAHIM HOUMED https://www.facebook.com/video.php?v=388628387959688&set=vb.198778723611323&type=2&theater

 

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 22:32

 

Soutenons le peuple Burkinabé contre la tyrannie de Blaise Compaoré

 

Les Burkinabé sont sortis dans la rue cet après-midi. Massivement. Ils ont investi le grand boulevard d’Ouagadougou et une partie de l’armée se serait ralliée à leur cause. Les femmes sont en tête du cortège impressionnant: une vraie démonstration de force pour défier la caste au pouvoir. Elles ne veulent plus entendre parler de Blaise Compaoré, ce tyran sanguinaire qui a assassiné son frère et ami Thomas Sankara, et qui est au pouvoir depuis bientôt 30 ans.


Ce soutien au peuple Burkinabé est aussi relayé par l’ensemble de la diaspora africaine du monde entier qui suit cet évènement et cet avènement comme étant sans précédent dans l’histoire de l’Afrique. A Paris, la communauté Burkinabé et africaine a prévu tous ensemble d’organiser le 30 octobre 2014 une grande marche de protestation contre le coup d’Etat constitutionnel en cours dans ce pays.

 

L’ensemble de la diaspora africaine a prévu de se retrouver au 32 rue de Courcelles 75 008 Paris devant l’Ambassade du Burkina Faso pour interpeller à la fois la France et le monde sur ce qui s’y passe au Burkina.

 

Alors que les Etats-Unis d’Amérique et la délégation locale de l’Union européenne ont condamné ce putch constitutionnel, notre gouvernement socialiste ne s’est toujours pas exprimé. Pourtant, il est des moments qui ont leur importance dans l’histoire des peuples et des États. Nous sommes la patrie des droits de l’Homme et nous ne devons pas soutenir, en tant que Français, en tant que socialistes, en tant qu’Européens sous quelque prétexte que ce soit la tyrannie de Blaise Compaoré et encore moins celle de Monsieur Ismaël Omar Guelleh, orchestre central des crimes de guerre, génocide et crimes contre l’humanité.

 

Nous ne voulons pas que le camarade François Hollande soit assimilé aux partisans colonialistes et néocolonialistes qui ont saigné dans le passé les pays d’Afrique francophone. Il faut vraiment rompre avec la Françafrique et François Hollande doit tenir ses promesses de rupture avec la Françafrique, promesses émises à la veille de son élection présidentielle.

 

Le peuple du Burkina Faso a besoin du soutien de tous les peuples et de tous les Etats démocratiques dans le monde.

 

Houssein IBRAHIM HOUMED

 

 

 

Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 22:30

 

Washington apporte son soutien officiel au peuple Burkinabe

 

C'est fini pour Blaise Compaore qui voit son rêve brisé pour toujours. Les États Unis viennent officiellement de rendre leur verdict: 2 mandats et c'est fini. La première puissance du monde privilegie l'option démocratique. Blaise Compaore est plus que jamais isolé tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du Burkina.

 

http://www.connectionivoirienne.net/104236/au-burkina-faso-les-usa-brise-reve-compaore-malgre-soutien-f...

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Dans le contenu d'un article partagé il y'a quelques instants par l'ambassade des Etats-Unis au Burkina, Washington réaffirme sa position sur la limitation du nombre de mandats pour les chefs d’Etat en Afrique et reste catégorique. « Deux mandats et c’est fini », propos de Linda Thomas-Greenfield, la secrétaire d’Etat adjointe aux Affaires africaines des Etats-Unis d’Amérique. Source: http://blogs.mediapart.fr/blog/bishikanda-dia-pool/241014/burkina-faso-washington-reste-categorique-deux-mandats-et-c-est-fini

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 22:29

Accompagner la révolution Burkinabè, un exemple exemplaire pour la libération de l'Afrique

 

Le peuple Burkinabais entame sa deuxième révolution depuis l’assassinat de leur Président légitime, Thomas Isidore Sankara. Les Burkinabais rejettent massivement Blaise Compaoré, chantre de la Françafrique, militaire brutal et corrompu.

 

Une première au Burkina Faso, preuve que la peur a changé de camp, preuve que les choses évoluent et que l’Afrique est en train d’assumer son histoire. 


Ils sont tous sortis à Ouagadougou pour protester contre la modification de la Constitution, en particulier l’article 37 qui ferait de Monsieur Compaoré un président à vie ou presque…Cette protestation, si elle est suivie par le monde entier de la manière la plus passive qui soit, préoccupe de manière active les Africains et en particulier par la diaspora d’Europe et d’Amérique qui espèrent un changement pour leur continent.


Femmes, enfants, vieillards, fonctionnaires burkinabais sont tous dans la rue depuis hier. Un fait sans précédent depuis l’arrivée au pouvoir de Blaise Compaoré. Les choses sont en train de changer en sa défaveur. Un mandat supplémentaire est dans les conditions actuelles inenvisageables sauf dans le sang. L’armée se serait désolidarisée de Blaise qui chercherait une porte de sortie.

 

L’Afrique a les yeux rivés sur le Burkina Faso. De sa réussite dépend aussi la réussite de toute l’Afrique francophone qui doit se débarrasser d’un double démon : les tyrans et les néocolonialistes qui forment essentiellement le mal radical et le cancer de tout un continent bien pire qu’Ebola.

 

La révolution Burkinabaise est en marche et rien ne semble l’arrêter : n’est-ce pas là que réside le salut d’une Afrique appelée à soutenir cette révolution si elle cherche vraiment à se libérer ?

 

Le Burkina-Faso est en train de se libérer : De sa réussite dépend celle de toute l'Afrique. Et cet espoir est permis. Ne le gâchons et soutenons ce beau peuple!

 

Houssein IBRAHIM HOUMED

 

 

 

 

Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 22:26

 

Non au coup d'Etat Constitutionnel au Burkina-Faso comme à Djibouti!

 

Décidément les dictateurs africains ont trouvé une nouvelle recette pour légitimer leur illégitimité: rester au pouvoir à vie. Le tyran djiboutien Ismaël Omar Guelleh a modifié la Constitution et s'apprête à briguer un nouveau mandat si sa santé lancinante le lui permet, et ailleurs en Afrique, c'est la même chose. C'est à savoir s'ils ne sortent pas de la même école. Après les partis uniques, les Présidents autoproclamés d'Afrique francophone se veulent comme les representants de Dieu sur terre.
Aux peuples d'Afrique de combattre ces tyrans.

"Malheur à celui qui bâillonne son peuple"
(Thomas SANKARA, Premier Président du Burkina Faso).

Soutenons le peuple du Burkina Faso!
A bas la tyrannie!


Houssein IBRAHIM HOUMED

http://www.rfi.fr/afrique/20141022-burkina-faso-blaise-compaore-referendum-contsitution-opposition-diabre-article-sank/?aef_campaign_date=2014-10-22&
aef_campaign_ref=partage_aef&ns_campaign=reseaux_sociaux&ns_source=FB&ns_mchannel=social&ns_linkname=editorial&aef_campaign_ref=partage_aef&aef_campaign_date=2014-10-22

Apres plusieurs mois de manifestations dans les rues et dans les stades, les parti au pouvoir et l’opposition attendaient tous la décision du président Blaise...
rfi.fr
 

CiBal Intrépide, Tapsoba Policarpe, Bashir Diop et 22 autres personnes aiment ça

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20 octobre 2014 1 20 /10 /octobre /2014 21:13

Loterie Green Card, une chance de fuir l'enfer de Guelleh

 

Chaque année, les Etats-Unis d'Amérique offrent plus de 55 000 visas pour des pays dont le taux d'immigration est faible. Djibouti en fait partie. Je demande aux Djiboutiens, qui se font régulièrement humiliés devant le Consulat de France par les stigmates de la colonisation à Djibouti qu'il y a une autre solution, plus simple, gratuite et rapide en remplissant, en quelques clics, le formulaire du lien suivant:

 

https://www.dvlottery.state.gov


Tentez votre chance, vous n'avez rien à perdre. Vous aurez au contraire la possibilité de gagner en dignité. Mais aussi la joie de découvrir la première démocratie et le pays le plus puissant du monde. L'Amérique est une terre d'immigration. Votre présence sera au pays de l'oncle SAM ne sera pas perçu comme un obstacle, vous ne serez pas vu comme un nègre, vous aurez toute votre place et toute votre chance dans ce pays qui a élu Barack Houssein OBAMA. Vous avez jusqu'au 3 novembre 2014 pour remplir gratuitement le formulaire et quitter l'enfer de Guelleh. Dépêchez-vous pour réaliser vos rêves!!!

 

Que Dieu bénisse l'Amérique!

 

Houssein IBRAHIM HOUMED

 

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19 octobre 2014 7 19 /10 /octobre /2014 23:03

Ie 19 octobre 1995, le juge Borrel était assassiné à Djibouti

 

En Hommage au juge Bernard Borrel sauvagement assassiné à Djibouti
En Hommage à sa femme Elisabeth Borrel et ses deux enfants
En Hommage à toutes les victimes de la dictature Djiboutienne

 

Le Juge Bernard Borrel a été assassiné le 19 octobre 1995 à Djibouti; Ses assassins courent toujours. Que s'est-il passé exactement en cette journée du 19 octobre?

Seul Monsieur Ismaël Omar Guelleh, le Président autoproclamé et orchestre central des crimes de guerre, génocide et crimes contre l'humanité serait en mesure de donner avec précision les détails de ce crime.
Seul Alain Romani, un fin affairiste corse qui fait partie de la mafia locale et qui accompagnait ce jour là le juge Borrel serait en mesure de nous livrer le récit du crime. Seul Hassan Said, le chef de services secrets djiboutiens nous en dira plus sur sa participation active.
Seul le Colonel Mahdi Ahmed Cheick, ex-chef de la gendarmerie nationale connue pour son antipathie occidentale pourrait nous décrire la scène du crime et nous en dire plus sur ce registre qui a disparu au check point du PK 51 que detenait la gendarmerie.

Bernard Nicolas, journaliste indépendant est allé à Djibouti. Dans ce reportage, il nous plonge dans le cœur de l'affaire Borrel, dans la Françafrique et ses pollutions morales, sans oublier le courage de Mohamed Saleh Alhoumekhani, l'homme a brisé l'omerta et relancé l'affaire. De nombreuses questions restent sans réponse: Pourquoi le juge Borrel a-t-il été assassiné? Quel est le degré de l'implication de la France dans cet assassinat? Dans le génocide anti-Afar? Pourquoi continue-t-elle à soutenir cette dictature sanguinaire depuis 40 ans? Ne se discrédite-t-elle pas en agissant de la sorte ? A quand la fin du diplomatiquement correct?

Le juge Borrel est mort il y a 19 ans. Sa veuve Élisabeth Borrel et ses deux enfants attendent que la Justice passe. La fin de l'émission est émouvante:

"Moi, je ne réclame pas de l'argent, je veux la vérité" conclut Élisabeth Borrel.

Une chose est y sûre: ceux qui ont assassiné le juge Borrel ne dorment pas tranquillement et ils sont hantés par son spectre chaque soir, comme par le spectre des autres crimes, à commencer par le commanditaire de cet assassinat, Ismaël Omar Guelleh, Alain Romani et le colonel Mahdi Ahmed Cheick, ex-chef de la Gendarmerie Nationale qui organisa le massacre d'Arhiba un matin du 18 décembre 1991.

Le courage de la vérité est ce qui guide nos actions chaque jour et nous voulons, aux côtés de Madame Borrel, savoir la Vérité.

Houssein IBRAHIM

http://www.dailymotion.com/video/xspmh_affaire-borrel-droits-de-suite_news

Ie 19 octobre 1995, le juge Borrel était assassiné à Djibouti En Hommage au juge Bernard Borrel sauvagement assassiné à Djibouti En Hommage à sa femme Elisabeth Borrel et ses deux enfants En Hommage à toutes les victimes de la dictature Djiboutienne Le Juge Bernard Borrel a été assassiné le 19 octobre 1995 à Djibouti; Ses assassins courent toujours. Que s'est-il passé exactement en cette journée du 19 octobre? Seul Monsieur Ismaël Omar Guelleh, le Président autoproclamé et orchestre central des crimes de guerre, génocide et crimes contre l'humanité serait en mesure de donner avec précision les détails de ce crime. Seul Alain Romani, un fin affairiste corse qui fait partie de la mafia locale et qui accompagnait ce jour là le juge Borrel serait en mesure de nous livrer le récit du crime. Seul Hassan Said, le chef de services secrets djiboutiens nous en dira plus sur sa participation active. Seul le Colonel Mahdi Ahmed Cheick, ex-chef de la gendarmerie nationale connue pour son antipathie occidentale pourrait nous décrire la scène du crime et nous en dire plus sur ce registre qui a disparu au check point du PK 51 que detenait la gendarmerie. Bernard Nicolas, journaliste indépendant est allé à Djibouti. Dans ce reportage, il nous plonge dans le cœur de l'affaire Borrel, dans la Françafrique et ses pollutions morales, sans oublier le courage de Mohamed Saleh Alhoumekhani, l'homme a brisé l'omerta et relancé l'affaire. De nombreuses questions restent sans réponse: Pourquoi le juge Borrel a-t-il été assassiné? Quel est le degré de l'implication de la France dans cet assassinat? Dans le génocide anti-Afar? Pourquoi continue-t-elle à soutenir cette dictature sanguinaire depuis 40 ans? Ne se discrédite-t-elle pas en agissant de la sorte ? A quand la fin du diplomatiquement correct? Le juge Borrel est mort il y a 19 ans. Sa veuve Élisabeth Borrel et ses deux enfants attendent que la Justice passe. La fin de l'émission est émouvante: "Moi, je ne réclame pas de l'argent, je veux la vérité" conclut Élisabeth Borrel. Une chose est y sûre: ceux qui ont assassiné le juge Borrel ne dorment pas tranquillement et ils sont hantés par son spectre chaque soir, comme par le spectre des autres crimes, à commencer par le commanditaire de cet assassinat, Ismaël Omar Guelleh, Alain Romani et le colonel Mahdi Ahmed Cheick, ex-chef de la Gendarmerie Nationale qui organisa le massacre d'Arhiba un matin du 18 décembre 1991. Le courage de la vérité est ce qui guide nos actions chaque jour et nous voulons, aux côtés de Madame Borrel, savoir la Vérité. Houssein IBRAHIM http://www.dailymotion.com/video/xspmh_affaire-borrel-droits-de-suite_news
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19 octobre 2014 7 19 /10 /octobre /2014 20:40

 

En Hommage au juge Bernard Borrel sauvagement assassiné à Djibouti
En Hommage à sa femme Elisabeth Borrel et ses deux enfants

 

Le Juge Bernard Borrel a été assassiné le 19 octobre 1995 à Djibouti; Ses assassins courent toujours. Que s'est-il passé exactement en cette journée du 19 octobre?

 

Seul Monsieur Ismaël Omar Guelleh, le Président autoproclamé et orchestre central des crimes de guerre, génocide et crimes contre l'humanité serait en mesure de donner avec précision les détails de ce crime.
Seul Alain Romani, un fin affairiste corse qui fait partie de la mafia locale et qui accompagnait ce jour là le juge Borrel serait en mesure de nous livrer le récit du crime.
Seul le Colonel Mahdi Ahmed Cheick, ex-chef de la gendarmerie nationale connue pour son antipathie occidentale qui a nettoyé la scène pourrait nous la décrire et nous en dire plus sur ce registre qui a disparu au check point du PK 51 que detenait la gendarmerie.

 

Bernard Nicolas, journaliste indépendant est allé à Djibouti. Dans ce reportage, il nous plonge dans le cœur de l'affaire Borrel, dans la Françafrique et ses pollutions morales, sans oublier le courage de Mohamed Saleh Alhoumekhani, l'homme a brisé l'omerta et relancé l'affaire. De nombreuses questions restent sans réponse: Pourquoi le juge Borrel a-t-il été assassiné? Quel est le degré de l'implication de la France dans cet assassinat? Dans le génocide anti-Afar? Pourquoi continue-t-elle à soutenir cette dictature sanguinaire depuis 40 ans? Ne se discrédite-t-elle pas en agissant de la sorte ? A quand la fin du diplomatiquement correct?

 

Le juge Borrel est mort il y a 19 ans. Sa veuve Élisabeth Borrel et ses deux enfants attendent que la Justice passe. La fin de l'émission est émouvante:

"Moi, je ne réclame pas de l'argent, je veux la vérité" conclut Élisabeth Borrel.

 

Une chose est y sûre: ceux qui ont assassiné le juge Borrel ne dorment pas tranquillement et ils sont hantés par son spectre chaque soir, comme par le spectre des autres crimes, à commencer par le commanditaire de cet assassinat, Ismaël Omar Guelleh, Alain Romani et le colonel Mahdi Ahmed Cheick, ex-chef de la Gendarmerie Nationale qui organisa le massacre d'Arhiba un matin du 18 décembre 1991.

 

Le courage de la vérité est ce qui guide nos actions chaque jour et nous voulons, aux côtés de Madame Borrel, savoir la Vérité.

 

Houssein IBRAHIM HOUMED


http://www.dailymotion.com/video/xspmh_affaire-borrel-droits-de-suite_news

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17 octobre 2014 5 17 /10 /octobre /2014 07:46

Justice pour la famille du juge Bernard Borrel assassiné à Djibouti sur ordre de Monsieur Ismaël Omar Guelleh

Dans une semaine, nous allons commémorer le 19ème anniversaire de l’assassinat du juge Bernard Borrel à Djibouti. 19 ans que son épouse et ses deux enfants se battent pour la vérité, 19 ans d'attente et d'interrogations, 19 ans d'omerta sur cet assassinat maquillé en suicide. Le 19 octobre 1995, le juge Borrel est découvert calciné à 100 km de Djibouti, dans un ravin sans qu’il ne puisse présenter la moindre blessure.

 

http://www.dailymotion.com/video/xspmh_affaire-borrel-droits-de-suite_news

 

Aucune autopsie sérieuse, la mafia locale française sur place appuyée par les partisans de la Françafrique vont immédiatement conclure à la thèse du suicide. Pour épouser la thèse du tyran qui sert leurs intérêts. Qu'importe la mort d'un juge qui aurait compromis le monde merveilleux des affaires de la Francafrique.
Il faudra attendre des longues années et c’est grâce au noble combat de son épouse, Elisabeth Borrel elle meme magistrate pour constater l'absence des sues dans le larynx -un detail qui a toute son importance et qui conduira à un revirement de l'enquête mais à un témoin clé, le Colonel Mohamed Saleh Alhoumekhani qui confirme la thèse de l'assassinat. Mohamed Saleh échappera de peu à l'assassinat au Yemen en 2013 , sa famille sera expulsée de Djibouti et déchue de sa nationalité djiboutienne

http://www.rfi.fr/afrique/20131010-mohamed-saleh-alhoumenaki-affaire-borrel-france-djibouti-yemen-guelleh/

 

Les différentes autopsies post mortem réalisées sur le corps de Bernard Borrel infirment en effet la thèse de suicide puisque des coups ont été portés sur la tête du juge Borrel et deux carburants ont été utilisés sur le corps infirmant la thèse d'un seul carburant. L'immolation par le feu privilégiée au départ pour brouiller les pistes s' écroule comme un château de cartes.

 

Il sera désormais difficile à Monsieur Ismaël Omar Guelleh le commanditaire principal de cet assassinat, de faire croire au suicide de Bernard Borrel. A cela s' ajoute le témoignage du chef de l’escadron présidentiel de l’époque Mohamed Saleh Alhoumekhani qui aurait surpris le tyran djiboutien en conversation avec les bourreaux du juge dans les jardins du palais de l'escale lui confirmant que « le juge fouineur est mort et qu'il n'y a plus de traces ».

En effet, le juge Bernard Borrel enquêtait sur un vaste réseau de trafic d’enfants, de blanchiments d’argent dans lequel Guelleh etait impliqué mais il enquêtait aussi sur l’attentat du café de Paris qui avait coûté la vie à un jeune collégien de 9 ans, Vincent, attentat à la grenade dans lequel le nom d’Ismaël Omar Guelleh était régulièrement cité.

Le juge Bernard Borrel fait partie de la longue liste des assassinats ciblés de Monsieur Ismaël Omar Guelleh et il rejoint tristement le cas de plusieurs personnalités civiles et militaires Djiboutiens: liste non exhaustive

-le colonel Abdi Bogoreh
-Youssouf Ali Chirdon
-Mohamed Djama Elabeh
-Idriss Farah Abaneh
-Général de division Yacin Yabeh Galab
- Colonel HAMUD AHMED FARAH connu sous le nom de Hamud Langadeh
-le commandant des douanes MOHAMED HASSAN DIABLE
-Mohamed Yacine, Pharmacien
-Le commissaire MOHAMED IDRISS dit KARAF
-ABDILLAHI DOUALEH ILAYEH
-MOHAMED MOUSSA AW-GUELLEH
-Le colonel OMAR BARREH de l’armée Nationale
-Le capitaine CAMUS de l’Armée Nationale

 

La liste est longue…Nous ne devons pas les oublier comme nous ne devons pas oublier l’assassinat du Juge Borrel qui est mort dans notre pays alors qu’il était venu servir les Djiboutiens.

 

Le cas concernant la communauté AFAR relève d'un tout autre registre par l'ampleur d'une folie meurtrière et qui mérite la qualification juridique du génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Nous devons tous nous battre pour que ces crimes de Monsieur Guelleh et de ses complices soient jugés devant la Cour Pénale Internationale.

 

Justice pour tous les Djiboutiens assassinés
Justice pour Hasna, Hafez, Sahal, Rayaleh, Arhiba
Justice pour la famille du juge assassiné Bernard Borrel.

 

Madame Elisabeth Borrel, je tiens à te dire que je suis avec TOI et tes enfants, que nous sommes avec VOUS !

 

 

Houssein IBRAHIM HOUMED

 

 

Bernard Borrel, brillant magistrat est assassiné le 18 octobre 1995 à Djibouti sur ordre de Monsieur Ismaël Omar Guelleh. Il enquêtait sur l'assassinat du café de Paris à Djibouti. Son corps est découvert calciné à 100 km de la capitale. Ismaël Omar Guelleh conclura rapidement au suicide. Cette thèse a été infirmée par des nouvelles autopsies qui concluent à l'assassinat.
Avec la veuve du juge Borrel, Elisabeth Borrel dans un café parisien: un même combat nous unit pour la vérité et la justice, pour dénoncer les crimes de Guelleh. Qu'elle sache de quelles immenses joies je lui redevable!
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