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14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 15:17
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13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 15:55
La souffrance éternelle s’est invitée chez sa Majestueuse Majesté Guelleh

Se familiarisant avec la souffrance, pour la première fois, Monsieur Ismaël Omar Guelleh a totalement disparu des écrans radars. Est-il cliniquement mort comme le laisse entendre le canard boiteux ? 

Difficile de dire ce qui se passe, mais une chose est sûre : l’aphasie totale de Guelleh, la loi du silence qui prévaut sur sa disparition réelle ou supposée, en dit long sur une belle triste réalité :

Qu’il soit de ce monde ou pas, Ismaël Omar Guelleh souffre terriblement.

Cette souffrance, qui est à l’extrême trop légère par rapport à cequ’il a fait subir aux Djiboutiens comme orchestre central des crimes de guerre, génocide et crimes contre l'humanité, est désormais la sienne et celle qui l’accompagnera pour le restant de sa vie, à supposer qu'il soit toujours vivant. 

Elle s’est invitée chez lui car elle avait besoin d’un hôte qui ôte la vie. 

Houssein IBRAHIM HOUMED
Photo : La souffrance éternelle s’est invitée chez sa Majestueuse Majesté Guelleh Se familiarisant avec la souffrance, pour la première fois, Monsieur Ismaël Omar Guelleh a totalement disparu des écrans radars. Est-il cliniquement mort comme le laisse entendre le canard boiteux ? Difficile de dire ce qui se passe, mais une chose est sûre : l’aphasie totale de Guelleh, la loi du silence qui prévaut sur sa disparition réelle ou supposée, en dit long sur une belle triste réalité : Qu’il soit de ce monde ou pas, Ismaël Omar Guelleh souffre terriblement. Cette souffrance, qui est à l’extrême trop légère par rapport à cequ’il a fait subir aux Djiboutiens comme orchestre central des crimes de guerre, génocide et crimes contre l'humanité, est désormais la sienne et celle qui l’accompagnera pour le restant de sa vie, à supposer qu'il soit toujours vivant. Elle s’est invitée chez lui car elle avait besoin d’un hôte qui ôte la vie. Houssein IBRAHIM HOUMED
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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 18:21
Le régime de Guelleh a fait de Djibouti une prison à ciel ouvert...

Depuis la crise post-électorale du 22 février 2012, une des caractéristiques du régime du Président autoproclamé réside dans une volonté irrationnelle de faire de Djibouti une prison à ciel ouvert. Gabode est devenue le lieu le plus sinistre de la capitale, un univers concentrationnaire qui rappelle Drancy où l’on inflige les traitements les plus dégradants de l’humanité.

Gabode, c’est d’abord la prison où le professeur Mohamed Elmi Rayeleh a été torturé avant de mourir des suites de ces mauvais traitements. 

Gabode, c’est aussi le lieu où se trouve détenu Mohamed Ahmed dit JABHA, le plus ancien prisonnier politique qui a été torturé et qui continue de subir les affres de la dictature djiboutienne qui a programmé sa mort. 

Gabode, c’est également ce même lieu où se trouvent arbitrairement détenus nos 3 Oulémas Abourahman Bachir, Mahdi GOD et Guirreh Meidal, qui sont les membres éminents du parti politique Model dont le vice-Président n’est autre que le Docteur Abatte Ebo Adou, Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris. 

Gabode, c’est enfin le lieu où se trouve détenu, dans l’arbitraire le plus total, depuis 21 jours, le Président du Mouvement pour le Renouveau démocratique (MRD) Daher Ahmed Farah. Malgré la relaxe et en violation totale de l’article 362 du Code de Procédure Pénale, DAF est toujours maintenu en détention : il est l’otage du régime. 

Ce soir, nous appelons le peuple Djiboutien à se mobiliser massivement et à exiger la libération immédiate et sans condition de tous nos prisonniers politiques.

Le droit doit triompher sur l’arbitraire et sur la force. 

Houssein IBRAHIM HOUMED
Photo : Le régime de Guelleh a fait de Djibouti une prison à ciel ouvert... Depuis la crise post-électorale du 22 février 2012, une des caractéristiques du régime du Président autoproclamé réside dans une volonté irrationnelle de faire de Djibouti une prison à ciel ouvert. Gabode est devenue le lieu le plus sinistre de la capitale, un univers concentrationnaire qui rappelle Drancy où l’on inflige les traitements les plus dégradants de l’humanité. Gabode, c’est d’abord la prison où le professeur Mohamed Elmi Rayeleh a été torturé avant de mourir des suites de ces mauvais traitements. Gabode, c’est aussi le lieu où se trouve détenu Mohamed Ahmed dit JABHA, le plus ancien prisonnier politique qui a été torturé et qui continue de subir les affres de la dictature djiboutienne qui a programmé sa mort. Gabode, c’est également ce même lieu où se trouvent arbitrairement détenus nos 3 Oulémas Abourahman Bachir, Mahdi GOD et Guirreh Meidal, qui sont les membres éminents du parti politique Model dont le vice-Président n’est autre que le Docteur Abatte Ebo Adou, Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris. Gabode, c’est enfin le lieu où se trouve détenu, dans l’arbitraire le plus total, depuis 21 jours, le Président du Mouvement pour le Renouveau démocratique (MRD) Daher Ahmed Farah. Malgré la relaxe et en violation totale de l’article 362 du Code de Procédure Pénale, DAF est toujours maintenu en détention : il est l’otage du régime. Ce soir, nous appelons le peuple Djiboutien à se mobiliser massivement et à exiger la libération immédiate et sans condition de tous nos prisonniers politiques. Le droit doit triompher sur l’arbitraire et sur la force. Houssein IBRAHIM HOUMED
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9 juin 2014 1 09 /06 /juin /2014 19:35
La Présidente de la Cour Suprême, Madame Kadiga ABEBA MOCREA doit assurer l'intérim de la Présidence à Djibouti...

Face à la constatation désormais avérée de la vacance de pouvoir de l’exécutif et comme Monsieur Ismaël Omar Guelleh,qui brille par son absence depuis 2 semaines, est désormais dans l’incapacité avérée d’assumer ses fonctions de Chef d’Etat, comme le prévoit la constitution djiboutienne de 1992, en son article 29,

« en cas de vacance de la Présidence de la République pour quelque cause que ce soit ou d’empêchement définitif constaté par le Conseil constitutionnel saisi par le premier ministre ou par le président de l’Assemblée nationale, l’intérim est assuré par le président de la Cour suprême, lequel ne peut être candidat à la Présidence durant l’intérim. Durant cet intérim, le Gouvernement ne peut être dissout ni remanié. Il ne peut être également procédé à aucune modification ni dissolution des institutions républicaines. L’élection du nouveau président a lieu trente jours au moins et quarante-cinq jours au plus après constatation officielle de la vacance ou du caractère définitif de l’empêchement »

Le peuple djiboutien exige la mise en œuvre de la procédure qui postule que la Présidente de la Cour Suprême, Madame Kadiga ABEBA MOCREA assure l’intérim dans l’attente de l’organisation de nouvelles élections. 

Il ne s’agit pas de spéculations mais bel et bien de l’application stricte des dispositions de la constitution. 

Le droit doit triompher sur la force…

Houssein IBRAHIM HOUMED
Photo : La Présidente de la Cour Suprême, Madame Kadiga ABEBA MOCREA doit assurer l'intérim de la Présidence à Djibouti... Face à la constatation désormais avérée de la vacance de pouvoir de l’exécutif et comme Monsieur Ismaël Omar Guelleh,qui brille par son absence depuis 2 semaines, est désormais dans l’incapacité avérée d’assumer ses fonctions de Chef d’Etat, comme le prévoit la constitution djiboutienne de 1992, en son article 29, « en cas de vacance de la Présidence de la République pour quelque cause que ce soit ou d’empêchement définitif constaté par le Conseil constitutionnel saisi par le premier ministre ou par le président de l’Assemblée nationale, l’intérim est assuré par le président de la Cour suprême, lequel ne peut être candidat à la Présidence durant l’intérim. Durant cet intérim, le Gouvernement ne peut être dissout ni remanié. Il ne peut être également procédé à aucune modification ni dissolution des institutions républicaines. L’élection du nouveau président a lieu trente jours au moins et quarante-cinq jours au plus après constatation officielle de la vacance ou du caractère définitif de l’empêchement » Le peuple djiboutien exige la mise en œuvre de la procédure qui postule que la Présidente de la Cour Suprême, Madame Kadiga ABEBA MOCREA assure l’intérim dans l’attente de l’organisation de nouvelles élections. Il ne s’agit pas de spéculations mais bel et bien de l’application stricte des dispositions de la constitution. Le droit doit triompher sur la force… Houssein IBRAHIM HOUMED
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9 juin 2014 1 09 /06 /juin /2014 13:47
Pour sa sépulture, Ismaël Omar Guelleh aurait choisi Diré-Dawa…

Selon des informations émanant des sources proches de la famille de Monsieur Ismaël Omar Guelleh, ce dernier aurait établi un testament dans lequel il préciserait le lieu de sa sépulture. 

Il ne souhaiterait pas être enterré en République de Djibouti mais aurait choisi pour sa dernière demeure soit Diré-Dawa, la ville de sa naissance qui se trouve en Ethiopie, soit dans le même caveau que l’ancien Premier Ministre Ethiopien Méles Zenawi ou soit la France : Est-ce la manifestation nostalgique de son passé, à l’époque coloniale, d’ancien agent de renseignement ou une tentative de protection des biens mal-acquis qu’il possède en France, qui ont déterminé ce choix?

Si cette information s’avère vraie, cela nous indiquerait la défiance et le mépris que le Chef de l’Etat autoproclamé de Djibouti aura toujours manifestés à l’encontre du peuple djiboutien, en particulier envers les Djiboutiens de souche. 

C’est pour cette raison qu’il s’est entouré, dans une proportion considérable, des femmes et des hommes venus de Diré-Dawa (Ethiopie). Les Djiboutiens sont désabusés par les prétentions des soi-disant djiboutiens qui pillent leur pays, la plupart du temps, avec la complicité suicidaire des Issas du pays. Cette alliance contre-nature a permis de sacrifier les intérêts du pays au détriment du nationalisme issa. 

Ce choix du lieu d’enterrement indique que Guelleh et son régime ont bien trompé le peuple djiboutien depuis l’indépendance. 

Il incombe la responsabilité au peuple djiboutien d’assumer son destin en confiant dorénavant, les rênes du pouvoir aux véritables citoyens du pays. 

Houssein IBRAHIM HOUMED
Photo : Pour sa sépulture, Ismaël Omar Guelleh aurait choisi Diré-Dawa… Selon des informations émanant des sources proches de la famille de Monsieur Ismaël Omar Guelleh, ce dernier aurait établi un testament dans lequel il préciserait le lieu de sa sépulture. Il ne souhaiterait pas être enterré en République de Djibouti mais aurait choisi pour sa dernière demeure soit Diré-Dawa, la ville de sa naissance qui se trouve en Ethiopie, soit dans le même caveau que l’ancien Premier Ministre Ethiopien Méles Zenawi ou soit la France : Est-ce la manifestation nostalgique de son passé, à l’époque coloniale, d’ancien agent de renseignement ou une tentative de protection des biens mal-acquis qu’il possède en France, qui ont déterminé ce choix? Si cette information s’avère vraie, cela nous indiquerait la défiance et le mépris que le Chef de l’Etat autoproclamé de Djibouti aura toujours manifestés à l’encontre du peuple djiboutien, en particulier envers les Djiboutiens de souche. C’est pour cette raison qu’il s’est entouré, dans une proportion considérable, des femmes et des hommes venus de Diré-Dawa (Ethiopie). Les Djiboutiens sont désabusés par les prétentions des soi-disant djiboutiens qui pillent leur pays, la plupart du temps, avec la complicité suicidaire des Issas du pays. Cette alliance contre-nature a permis de sacrifier les intérêts du pays au détriment du nationalisme issa. Ce choix du lieu d’enterrement indique que Guelleh et son régime ont bien trompé le peuple djiboutien depuis l’indépendance. Il incombe la responsabilité au peuple djiboutien d’assumer son destin en confiant dorénavant, les rênes du pouvoir aux véritables citoyens du pays. Houssein IBRAHIM HOUMED
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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 20:35
La fin d’un règne sanglant qui aura détruit l’unité nationale…

Il n’y a plus que les partisans de Monsieur Guelleh et en particulier les derniers carrés de son sous-clan (Général Zakaria, Ismaël Tani, Hassan Saïd, Colonel Mohamed Djama, Djama Ali Guelleh, Robleh Olhayé, le sinistre ministre Ali Yacoub, etc.) à croire en l’éternité de son chef, de son Führer dont la page est déjà tournée. Mort ou pas, il ne pourra plus jouer le prédateur alfa sur la scène politique djiboutienne, ni déterminer le destin du peuple djiboutien qui est déjà en train d’écrire une nouvelle page de son histoire.

Dans l’hypothèse où sa disparition se confirmerait, c’est tout un chapitre sombre de l’histoire de Djibouti qui se refermerait.
Hélas ! à l’instar de son oncle Hassan Gouled Aptidon et d’autres extrémistes bien connus comme Moumine Bahdon et GABAYO, Monsieur Ismaël Omar Guelleh aura quitté ce monde sans subir Le jugement populaire et les sanctions pénales qu’il méritait pour ses crimes de guerre, génocide et crimes contre l’humanité, particulièrement à l’encontre de la communauté Afare. La cour pénale internationale n’aura pas l’occasion de nous dévoiler les faces cachées et hideuses d’un pouvoir sanguinaire !

Il se pourrait- et cela est désormais d’une évidence indéniable - que le régime djiboutien ne survive pas à la disparition de son Maître. Il se pourrait également que ce soit la fin de l’hégémonie de son sous-clan qui lui a été inféodé depuis presque 40 ans et qu’il a su instrumentaliser en vue de marginaliser la communauté Afare, réprimer ses opposants issas issus des autres clans et alimenter la haine anti-Gadaboursis au nom de la pseudo-tradition. 

La disparition du régime de Guelleh sera effective, consommée et probante, que lorsque un Etat de droit sera instauré en République de Djibouti. J’ose espérer que les Etats-Unis d’Amérique, le Japon et la France favoriseront l’avènement de la démocratie et qu’ils ne cautionneront pas une prise de pouvoir par les héritiers haineux du sous clan.

De toute évidence, c’est au peuple djiboutien qu’incombe la responsabilité d’assumer son destin envers et contre tous.

Houssein IBRAHIM HOUMED
Photo : La fin d’un règne sanglant qui aura détruit l’unité nationale… Il n’y a plus que les partisans de Monsieur Guelleh et en particulier les derniers carrés de son sous-clan (Général Zakaria, Ismaël Tani, Hassan Saïd, Colonel Mohamed Djama, Djama Ali Guelleh, Robleh Olhayé, le sinistre ministre Ali Yacoub, etc.) à croire en l’éternité de son chef, de son Führer dont la page est déjà tournée. Mort ou pas, il ne pourra plus jouer le prédateur alfa sur la scène politique djiboutienne, ni déterminer le destin du peuple djiboutien qui est déjà en train d’écrire une nouvelle page de son histoire. Dans l’hypothèse où sa disparition se confirmerait, c’est tout un chapitre sombre de l’histoire de Djibouti qui se refermerait. Hélas ! à l’instar de son oncle Hassan Gouled Aptidon et d’autres extrémistes bien connus comme Moumine Bahdon et GABAYO, Monsieur Ismaël Omar Guelleh aura quitté ce monde sans subir Le jugement populaire et les sanctions pénales qu’il méritait pour ses crimes de guerre, génocide et crimes contre l’humanité, particulièrement à l’encontre de la communauté Afare. La cour pénale internationale n’aura pas l’occasion de nous dévoiler les faces cachées et hideuses d’un pouvoir sanguinaire ! Il se pourrait- et cela est désormais d’une évidence indéniable - que le régime djiboutien ne survive pas à la disparition de son Maître. Il se pourrait également que ce soit la fin de l’hégémonie de son sous-clan qui lui a été inféodé depuis presque 40 ans et qu’il a su instrumentaliser en vue de marginaliser la communauté Afare, réprimer ses opposants issas issus des autres clans et alimenter la haine anti-Gadaboursis au nom de la pseudo-tradition. La disparition du régime de Guelleh sera effective, consommée et probante, que lorsque un Etat de droit sera instauré en République de Djibouti. J’ose espérer que les Etats-Unis d’Amérique, le Japon et la France favoriseront l’avènement de la démocratie et qu’ils ne cautionneront pas une prise de pouvoir par les héritiers haineux du sous clan. De toute évidence, c’est au peuple djiboutien qu’incombe la responsabilité d’assumer son destin envers et contre tous. Houssein IBRAHIM HOUMED
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7 juin 2014 6 07 /06 /juin /2014 16:44
La succession de Guelleh se prépare dans la terreur et dans le sang...

Sans son Président autoproclamé, Monsieur Guelleh qui agonise depuis bientôt une semaine sur son lit de mort d’hôpital du Val-de-Grâce où il ne passe plus des grasses matinées, son régime est aux abois. Les affaires courantes sont gérées par l’incompétent cousin général autoproclamé, Zakaria Cheick Ibrahim qui entend perpétuer le rêve du clan sur la République de Djibouti. 

Amputé d’une jambe et abandonné à lui-même par Madame Kadra Mahamoud Haid, sa propre femme qui a d’autres chats à fouetter que de rester au chevet d’un malade difficile, nous apprenons ce matin, par le biais de Gita, un activiste de Facebook qu’elle aurait chassé du palais de Haramous la milice clanique de la Garde Républicaine pour la remplacer par celle de la police. C’est l’heure du règlement de compte. Comme si le Chef, l’Unique, le Fürher ne reviendra jamais.

Sans Chef, le régime de Guelleh vit des heures difficiles : la débandade et le règlement de comptes sont désormais monnaie-courante. On ne sait plus qui fait quoi, chacun donne des ordres suivie des contre-ordres et nous espérons que cette situation sera pleinement profitable à l’opposition qui ne doit pas rater cette opportunité pour assumer le destin d’un pays économiquement exsangue à cause de la défaillance d’un seul homme. 

Les Djiboutiens doivent désormais assumer leur destin…

Une opportunité leur est offerte grâce à la maladie de Guelleh, le simple bon sens leur commande de la saisir…

Houssein IBRAHIM HOUMED
Photo : La succession de Guelleh se prépare dans la terreur et dans le sang... Sans son Président autoproclamé, Monsieur Guelleh qui agonise depuis bientôt une semaine sur son lit de mort d’hôpital du Val-de-Grâce où il ne passe plus des grasses matinées, son régime est aux abois. Les affaires courantes sont gérées par l’incompétent cousin général autoproclamé, Zakaria Cheick Ibrahim qui entend perpétuer le rêve du clan sur la République de Djibouti. Amputé d’une jambe et abandonné à lui-même par Madame Kadra Mahamoud Haid, sa propre femme qui a d’autres chats à fouetter que de rester au chevet d’un malade difficile, nous apprenons ce matin, par le biais de Gita, un activiste de Facebook qu’elle aurait chassé du palais de Haramous la milice clanique de la Garde Républicaine pour la remplacer par celle de la police. C’est l’heure du règlement de compte. Comme si le Chef, l’Unique, le Fürher ne reviendra jamais. Sans Chef, le régime de Guelleh vit des heures difficiles : la débandade et le règlement de comptes sont désormais monnaie-courante. On ne sait plus qui fait quoi, chacun donne des ordres suivie des contre-ordres et nous espérons que cette situation sera pleinement profitable à l’opposition qui ne doit pas rater cette opportunité pour assumer le destin d’un pays économiquement exsangue à cause de la défaillance d’un seul homme. Les Djiboutiens doivent désormais assumer leur destin… Une opportunité leur est offerte grâce à la maladie de Guelleh, le simple bon sens leur commande de la saisir… Houssein IBRAHIM HOUMED
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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 21:51
Je rêve qu’un jour les Djiboutiens se réconcilient entre eux …
I have a dream...

Il est impossible de créer une nation commune tant que les AFARS ne règlent pas leur propre problème qui consiste à s’approprier le nationalisme AFAR, à revendiquer le caractère fondamentalement AFAR de Djibouti et faire sienne l’histoire de Djibouti des sultans jusqu’à l’indépendance de Djibouti en passant par le combat mené par Mahamoud Harbi et Ahmed Dini contre le colonialisme français.

De leur côté les Somalis de Djibouti doivent résoudre leur problème de clanisme et de tribalisme qui ont détruit la République de Somalie.

Tant que les uns et les autres ne résoudront pas leur propre problème, ils seront dans l’incapacité de fonder une nation fondée sur l’égalité, la justice et le juste partage de la richesse nationale.

Le Président autoproclamé Ismaël Omar Guelleh ne fait malheureusement qu’exploiter à son profit les faiblesses intrinsèques de chaque communauté et les mésententes héritées du colonialisme français pour empêcher tout rapprochement idéologique entre AFARS et SOMALIS et leurs classes politiques.

Et surtout Il n’est pas dans l’intérêt du dictateur qu’un consensus se dégage entre les nationalistes Afars et Somalis prêts à sacrifier leurs intérêts égoïstes sur l’autel de l’intérêt général, ce qui implique nécessairement que les uns et les autres fassent des sacrifices et partagent ce qu’ils estiment ne pas être partagés pour l’instant…

Un tel consensus signera l’arrêt de mort de toute forme de dictature et de tribalisme…

Je rêve qu’un jour les Djiboutiens se réconcilient entre eux et cela n’est possible que si et seulement ils acceptent leurs différences.

Houssein IBRAHIM HOUMED
Photo : Je rêve qu’un jour les Djiboutiens se réconcilient entre eux … I have a dream... Il est impossible de créer une nation commune tant que les AFARS ne règlent pas leur propre problème qui consiste à s’approprier le nationalisme AFAR, à revendiquer le caractère fondamentalement AFAR de Djibouti et faire sienne l’histoire de Djibouti des sultans jusqu’à l’indépendance de Djibouti en passant par le combat mené par Mahamoud Harbi et Ahmed Dini contre le colonialisme français. De leur côté les Somalis de Djibouti doivent résoudre leur problème de clanisme et de tribalisme qui ont détruit la République de Somalie. Tant que les uns et les autres ne résoudront pas leur propre problème, ils seront dans l’incapacité de fonder une nation fondée sur l’égalité, la justice et le juste partage de la richesse nationale. Le Président autoproclamé Ismaël Omar Guelleh ne fait malheureusement qu’exploiter à son profit les faiblesses intrinsèques de chaque communauté et les mésententes héritées du colonialisme français pour empêcher tout rapprochement idéologique entre AFARS et SOMALIS et leurs classes politiques. Et surtout Il n’est pas dans l’intérêt du dictateur qu’un consensus se dégage entre les nationalistes Afars et Somalis prêts à sacrifier leurs intérêts égoïstes sur l’autel de l’intérêt général, ce qui implique nécessairement que les uns et les autres fassent des sacrifices et partagent ce qu’ils estiment ne pas être partagés pour l’instant… Un tel consensus signera l’arrêt de mort de toute forme de dictature et de tribalisme… Je rêve qu’un jour les Djiboutiens se réconcilient entre eux et cela n’est possible que si et seulement ils acceptent leurs différences. Houssein IBRAHIM HOUMED
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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 21:49
Libération immédiate et sans condition de Daher Ahmed Farah

Comme le dénonce le communiqué ci-joint du Haut-conseil de l’opposition djiboutienne USN, je suis profondément choqué par les arrestations répétées et gratuites du porte-parole de la coalition, Monsieur Daher Ahmed Farah également Président du MRD qui fait l’objet d’un acharnement sans fondement de la part de Monsieur Ismaël Omar Guelleh.

J’exige personnellement la libération immédiate et sans condition de Monsieur Daher Ahmed Farah ainsi que tous les prisonniers politiques dont Mohamed JABHA et les 3 Oulémas arbitrairement détenus dans les geôles djiboutiens de Gabode, de Nagad et de la brigade criminelle.

Ce n'est pas en transformant Djibouti en une prison à ciel ouvert que Monsieur Guelleh pourrait s'en sortir.

Houssein IBRAHIM HOUMED
(4 photos)
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.
Photo de Houssein Ibrahim Houmed.

Mjo Farah-ad, Yassin Omar, Adel Abdourahman et 25 autres personnes aiment ça

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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 21:49
Le sauve-qui-peut ou la fin de règne imminente de Monsieur Ismaël Omar Guelleh...

Fortement contesté tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, ne supportant plus l’acharnement thérapeutique dont il fait l’objet à cause de sa démence vasculaire ischémique sous-corticale, le Président autoproclamé de Djibouti, Monsieur Ismaël Omar Guelleh n’est plus désormais que le cadavre d'un passé dépassé, en un mot une histoire de quelques semaines ou de quelques jours avant d’abdiquer définitivement…Rien ne lui semble favorable et les nombreux marabouts-tels des vautours autour de leur charognard-ne parviennent à inverser la tendance quant à sa situation sanitaire...

Il n’aurait plus de mainmise sur la situation et tiendrait surtout grâce au puissant propofol qui lui serait administré régulièrement. Dans ses quelques rares apparitions, on le voit transpirant et très soufflant,peinant à articuler les mots. Les défections seraient devenues nombreuses dans son propre camp et il ne s’appuierait plus que sur le dernier cercle restreint de la famille et du sous-clan, quelques-uns de ses cousins qui se refuseraient à croire à cette fin plus que jamais inéluctable.

Les fidèles d'entre les fidèles auraient déjà fait voyager, femmes et enfants, à l’étranger et se prépareraient de quitter le pays, à leur tour, le palais de Haramous devenu le palais de tous les soucis, le palais de toutes les souffrances, le palais de tous les maux de Djibouti et face aux signes de faiblesses et d’alertes devenus de plus en plus évidents, chacun d'entre eux craint désormais pour le sort qui risque de lui être réservé après Guelleh. L'après-Guelleh qui n'était qu'un rêve hier est désormais une certitude.

Ismaël Omar Guelleh n’aurait jamais imaginé connaître pareil sort après avoir prospéré quarante années de règne sans partage en étouffant toute opposition dans l’œuf et en programmant, dans l'impunité la plus totale, le génocide de son propre peuple sur le fondement de l’ethnofascisme qui caractérise son régime. Le promoteur de la médiocrité djiboutienne qui vit difficilement son agonie revoit la scène tel comme dans un film: Hasna, Hafez, Sahal, Arhiba, Yacin Yabeh, Omar Bouh, Camus, Karaf, Mohamed Yacin, Mohamed Hassan Diable, Le génocide Afar, les assassinats des Gadaboursis, Bernard Borrel du nom de ce magistrat français assassiné sous ses ordres à Djibouti sont les victimes qui viennent le hanter dans son sommeil et dans ses dernières heures. On ne peut rien imaginer de pire pour lui: il n’a plus de complices et certains de ses anciens acolytes ont dejà changé de camp et de costume pour espérer se faire une virginité politique au sein de l'USN mais trop tard, puisqu'ils ont été démasqués et leurs noms soigneusement transmis, par mes soins, à la Cour Pénale Internationale.

Le rejet massif dont Monsieur Guelleh fait l’objet fait partie de la fragilité dans les affaires humaines, de ces choses qu'il n'avait pas prévu, qui n'était pas à l'ordre du jour, et qui avait totalement échappé à l'ancien policier des moeurs, à cet accident de l'histoire devenu Président autoproclamé lorsqu'il était au faîte de sa puissance en se permettant de commettre toutes les bavures et les crimes les plus effroyables. Celà lui procurait une certaine jouissance et une toute-puissance qui ne faisait que l'enorgueillir.

Cette période est terminée. Il le sait et ses proches aussi au même titre que ceux qui se trouvent de l'autre côté de la rive, qui n'ont fait que changer le fusil d'épaule et qui pense que la nouvelle carapace de l'USN pourra leur procurer une certaine immunité: Comment un criminel de guerre comme Houdeidi pourra-t-il, par exemple, penser un seul instant qu'au nom de son engagement au sein de l'USN, le meurtre sauvage commis sur le Cadi de Randa, feu Ali Houmed Souleh lui sera pardonné? Comment un criminel de guerre comme Mohamed Djama Doualeh, le berger devenu colonel par la grâce de ces crimes à grande échelle pourra-t-il continuer de prospérer à Djibouti sans que ces actes monstrueux ne soient pas jugés devant une Cour Pénale Internationale?

Quant à Ismaël Omar Guelleh, il n’a plus désormais que sa propre famille et son sous-clan pour le soutenir et il réalise, le peu de temps qui lui reste, le peu de temps qu’il retrouve sa conscience, le peu de temps qu’il sort de son coma artificielle, toutes les inadmissibles et impardonnables erreurs qu’il a commises en se croyant protégé pour toujours et à l’abri de tout.

Cette protection, à toutes les échelles, est une chose qui ne lui est plus désormais acquise.

La fin d’une époque… et le début d’une nouvelle ère pour le peuple de Djibouti.

Houssein IBRAHIM HOUMED
Photo : Le sauve-qui-peut ou la fin de règne imminente de Monsieur Ismaël Omar Guelleh... Fortement contesté tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, ne supportant plus l’acharnement thérapeutique dont il fait l’objet à cause de sa démence vasculaire ischémique sous-corticale, le Président autoproclamé de Djibouti, Monsieur Ismaël Omar Guelleh n’est plus désormais que le cadavre d'un passé dépassé, en un mot une histoire de quelques semaines ou de quelques jours avant d’abdiquer définitivement…Rien ne lui semble favorable et les nombreux marabouts-tels des vautours autour de leur charognard-ne parviennent à inverser la tendance quant à sa situation sanitaire... Il n’aurait plus de mainmise sur la situation et tiendrait surtout grâce au puissant propofol qui lui serait administré régulièrement. Dans ses quelques rares apparitions, on le voit transpirant et très soufflant,peinant à articuler les mots. Les défections seraient devenues nombreuses dans son propre camp et il ne s’appuierait plus que sur le dernier cercle restreint de la famille et du sous-clan, quelques-uns de ses cousins qui se refuseraient à croire à cette fin plus que jamais inéluctable. Les fidèles d'entre les fidèles auraient déjà fait voyager, femmes et enfants, à l’étranger et se prépareraient de quitter le pays, à leur tour, le palais de Haramous devenu le palais de tous les soucis, le palais de toutes les souffrances, le palais de tous les maux de Djibouti et face aux signes de faiblesses et d’alertes devenus de plus en plus évidents, chacun d'entre eux craint désormais pour le sort qui risque de lui être réservé après Guelleh. L'après-Guelleh qui n'était qu'un rêve hier est désormais une certitude. Ismaël Omar Guelleh n’aurait jamais imaginé connaître pareil sort après avoir prospéré quarante années de règne sans partage en étouffant toute opposition dans l’œuf et en programmant, dans l'impunité la plus totale, le génocide de son propre peuple sur le fondement de l’ethnofascisme qui caractérise son régime. Le promoteur de la médiocrité djiboutienne qui vit difficilement son agonie revoit la scène tel comme dans un film: Hasna, Hafez, Sahal, Arhiba, Yacin Yabeh, Omar Bouh, Camus, Karaf, Mohamed Yacin, Mohamed Hassan Diable, Le génocide Afar, les assassinats des Gadaboursis, Bernard Borrel du nom de ce magistrat français assassiné sous ses ordres à Djibouti sont les victimes qui viennent le hanter dans son sommeil et dans ses dernières heures. On ne peut rien imaginer de pire pour lui: il n’a plus de complices et certains de ses anciens acolytes ont dejà changé de camp et de costume pour espérer se faire une virginité politique au sein de l'USN mais trop tard, puisqu'ils ont été démasqués et leurs noms soigneusement transmis, par mes soins, à la Cour Pénale Internationale. Le rejet massif dont Monsieur Guelleh fait l’objet fait partie de la fragilité dans les affaires humaines, de ces choses qu'il n'avait pas prévu, qui n'était pas à l'ordre du jour, et qui avait totalement échappé à l'ancien policier des moeurs, à cet accident de l'histoire devenu Président autoproclamé lorsqu'il était au faîte de sa puissance en se permettant de commettre toutes les bavures et les crimes les plus effroyables. Celà lui procurait une certaine jouissance et une toute-puissance qui ne faisait que l'enorgueillir. Cette période est terminée. Il le sait et ses proches aussi au même titre que ceux qui se trouvent de l'autre côté de la rive, qui n'ont fait que changer le fusil d'épaule et qui pense que la nouvelle carapace de l'USN pourra leur procurer une certaine immunité: Comment un criminel de guerre comme Houdeidi pourra-t-il, par exemple, penser un seul instant qu'au nom de son engagement au sein de l'USN, le meurtre sauvage commis sur le Cadi de Randa, feu Ali Houmed Souleh lui sera pardonné? Comment un criminel de guerre comme Mohamed Djama Doualeh, le berger devenu colonel par la grâce de ces crimes à grande échelle pourra-t-il continuer de prospérer à Djibouti sans que ces actes monstrueux ne soient pas jugés devant une Cour Pénale Internationale? Quant à Ismaël Omar Guelleh, il n’a plus désormais que sa propre famille et son sous-clan pour le soutenir et il réalise, le peu de temps qui lui reste, le peu de temps qu’il retrouve sa conscience, le peu de temps qu’il sort de son coma artificielle, toutes les inadmissibles et impardonnables erreurs qu’il a commises en se croyant protégé pour toujours et à l’abri de tout. Cette protection, à toutes les échelles, est une chose qui ne lui est plus désormais acquise. La fin d’une époque… et le début d’une nouvelle ère pour le peuple de Djibouti. Houssein IBRAHIM HOUMED
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